Revue de presse 25-27 janvier 2025

 

France

 

Treize Gaulois enterrés assis et très bien conservés: une découverte exceptionnelle. Rue Turgot à Dijon, des fouilles archéologiques ont été menées entre mi-octobre et mi-décembre 2024. Elles ont permis une mise au jour de treize Gaulois enterrés dans des fosses circulaires : une découverte d’envergure, puisqu’il n’existe qu’une cinquantaine d’individus inhumés de cette manière en France et en Suisse.

 

Plus de 80 sépultures, de l’Antiquité à l’époque moderne, retrouvées dans une église de Dijon. Entre octobre et novembre 2024, les archéologues de l’Inrap ont pu fouiller le sous-sol de l’église Saint-Philibert de Dijon. Ils ont retrouvé de nombreuses sépultures ainsi que des vestiges de plusieurs édifices préalables. Retour sur ces découvertes avec Clarisse Couderc, responsable scientifique du chantier.

 

Maroc. Les premières images des découvertes dans la cité romaine de Chellah. Bâtie au XIVème siècle par les Mérinides, la kasbah de Chellah, à Rabat, n’en finit pas de dévoiler ses secrets, jusque-là enfouis dans les entrailles de la Terre. Des vestiges de l’ancienne cité romaine de Sala viennent d’y être révélés au grand jour. En voici les premières images, recueillies par Le360.

 

Mauritanie. Le ministre de la Culture supervise le lancement officiel des fouilles archéologiques sur le site d’Azougui. La recherche se poursuivra pendant huit ans ou plus. Il ne s’agit pas seulement d’un processus d’exploration de l’archéologie historique de cette ville, mais aussi de la transformer en un atelier d’enseignement qui assure le diplôme à un plus grand nombre de jeunes spécialisés dans le domaine de l’archéologie.

 

Roumanie. Traces de présence humaine à plus de 1,95 million d’années. Une équipe internationale de scientifiques ont analysé à nouveau les éléments de la faune découverts lors des fouilles archéologiques réalisées au début des années 60 sur le site de la vallée de Grăunceanu et ils les ont datés en utilisant la méthode uranium-plomb.

 

Divers. Les groupes sanguins d’Homo sapiens éclairent les raisons de son succès évolutif. L’analyse des groupes sanguins des premiers Homo sapiens d’Eurasie montre qu’ils ont acquis une nouvelle palette de groupes sanguins juste après leur sortie d’Afrique il y a 60 000 ans, contrastant avec celle des Néandertaliens. Cette diversification se serait produite au Proche-Orient et pourrait doter Homo sapiens d’un nouvel arsenal adaptatif.

 


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