Départ en car à 7h30 le matin au cirque d'Amiens.
Arrivée à 9h30 place du Trocadéro. On a le temps de prendre un petit dejeuner...
Et c'est parti pour la visite du musée de l'homme
Pour en savoir plus.... le dossier de presse à télécharger, présentation du nouveau Musée de l'Homme
Petite pause à midi avant de repartir pour la visite des coulisses de la tour Eiffel
Le rendez-vous était devant la statue de Gustave Eiffel.
La visite commence par la découverte du bunker sous le Champ de Mars, station radiotélégraphique militaire. Il est aujourd'hui démilitarisé ; créé en 1909 il était réservé aux télécommunications militaires via la tour Eiffel toute proche. Son existence resta secrète durant 70 ans.
Notre guide nous rappelle les principales mensurations de la Dame de Fer. 327 mètres (300 à son inauguration, qui ont évolués avec l’ajout d’antennes) 10100 tonnes d’acier. Initialement construite dans le cadre de l’exposition universelle de 1889, la tour devait ensuite être démontée. Elle doit son salut à Gustave Eiffel qui proposa son utilisation pour des tests.
L'accès du bunker se fait juste à côté de l’espace de livraison destiné à alimenter le restaurant de la Tour Eiffel, près de la statue du général Ferrié, à l’angle de l’avenue du Général Ferrié et l’allée Pierre Loti. Un escalier nous emmène environ 4 à 5 mètres sous terre.
Des photos rappellent l’histoire du lieux mais surtout de la Tour. On peut y voir Gustave Eiffel et le Général Ferrié lors des premiers tests des émissions radios militaires, mais aussi Sacha Guitry au moment des diffusions des premiers programmes radios civils.
Tout cet espace est maintenant utilisé par l’entreprise en charge de la gestion de la Tour Eiffel et notamment du restaurant et le matériel de l'époque est exposé au musée de la Guerre, aux Invalides.
Le plan
La visite se poursuit dans la salle des machines qui aujourd'hui encore commande le fonctionnement des ascenseurs.
De nos jours les ascenseurs sont tous les engins électriques, mais au départ c'est la force hydraulique qui les faisait fonctionner. Des moteurs hydrauliques poussaient un piston qui enroulait le cable autour de roues, provoquant la tension de ce cable et par effet de ricochet l'élévation de la cabine. La machinerie originelle se trouve dans une salle contenant tous ces engins, pieusement conservés. La pompe hydraulique qui alimentait en eau la machinerie de l'ascenseur Edoux, qui montait au 3e étage, est exposée au premier étage.
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Notre présentation de la journée en suivant le lien ici, avec des vidéos, des photos....
La journée se termine. Un dernier coup d'oeil sur la tour Eiffel qui commence à s'illuminer, avant de rejoindre le car.
Photos Françoise Payen - Ciras